della Natura in questa mirabile sua opera. Era riservato ai luminosi progressi fatti dalla nuova Chimica lo sviluppo di questo mistero, il quale tutto consiste nella sola azione delle affinità proprie delle particelle similari del quarzo nuotanti in un fluido, sotto certe
determinate condizioni. « Les forces attractives (dice l’Haüy) qui sollicitent les molécules d’un minéral suspendues dans un liquide, ont un certain rapport avec la figure de ces molécules; et c’est dans ce rapport que consiste la tendance, qu’ont par elles-mêmes les molécules à se réunir conformément aux lois d’une agrégation régulière. Mais pour qu’elles parviennent à ce but, il faut qu’elles aient le loisir de se chercher, de s’appliquer les unes contre les autres par les faces convenables, et de concourir toutes en même temps à l’harmonie, qui doit naître de leur ensemble. Il faut que le liquide soit dans un état de repos, que ses propres molécules abandonnent lentement celles du minéral pour les mettre dans la position la
