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<l4 SCR L’AFFINITli DES COUPS ETC.
dans le calcul par ios hyclro-siilfalcs la supposition de raculo hydro sulluiicpie alcaliu, dounerait pour resultat Li potasse aicide, ce qui seciu’lie trop des riisinltats pnictidens cjwi touiS assi^n«nt li la potasse une atcaliuile considui-able, pour iajire enlrer c€ iesultat dans ki delcrmiiialiou de la moycnue. Nous Boxis contentcCrous done dans ce calcul par Its sets doiit Tacide conUent le saufre, des resultats fouriiis par le sulfate, le sulille, rhypo-suUate., et riiypo-suUite. Ces resuUats sont
o,63o3; 0,461a; 1,094,1; 0,29 15, el la nioyenne entre c€S 4 resultats est 0,619^2; tejje. serait done ralcallnite de la potasse d’ajM’es la composition d«iS ^Is iientires oil enti-e le soufre, selan le pouvoir neutralisant «jue nous avous provisoircincnt attribue a ce dernier. C’esl wae pi^emlere vcJc’iff a joindre i ccUe cpe nous avons tiree des combinaiso.ns de la poy tasse avec les acides dont I’acidite est coanue par les Oibse,rvations de chaleur specificjue, et de pouvoir refringent
7. Les acides phosphoriqiie et phosphoreux pe.uveut de memfl nous donner une autre delertuiiialion de Takalinilie dtt la potass^ €n partant du pouT«ir neutrali.’;ant — o,Qi5g, qtie nous avoids attribue provisolremeat au pbosphore. Le pbospliate de potasse que M. Berzelius cousidere eoinme neulre contient I’oxigene do la base a I’oxigene de Tacide conjme 2 a 5, on conjme j a 2 5, c’est-a-dire qu’d est forme, scion utus suppositions, de i volumft de potassium a I’etat de potasse et i de pliospbqre i I’etat d’aci’ de sulfurique. Mais cc sel est reellement alcalin selon les observations que nous avons dcja i"appelees ev^ parlant du phosphate d’ammoniaque; et au contraiire un sel qui conlieniie le double d’acide est acide lui-meme; ensorte qu’enooi’e ici nous devous avoir recours a rcxpedicut dont nous nous sommes servi dans le calcul du pouvoir nentralisant du phosphore pa,r les phosphates d’ammouiaque, savoir considerer ces deux sels comme egalement neutres, ot prendre la moyennc entre les resuUats qu’on en dcduit. II en c.^t de meine des deux phosphites correspondans, qui n’cn diflerent
