Pagina:Slataper - I confini necessari all'Italia, Palatina, 1915.djvu/4

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«La seule limite militaire à établir entre les possessions de Vôtre Majesté vers ce côté et celles de la Bavière est la limite tracée par la nature mème sur les sommets des montagnes où se séparent les eaux de la Mer Noire et celles de l’Adriatique».

Beauharnais a Napoleone. (Mémoires du Prince Eugène Beauharnais. Paris, Lévy, 1858. Lettera del 15 agosto 1810).


«La division naturelle des montagnes passerait entre Laybach et l’Isonzo et comprendrait une partie de la Carniole et de l’Istrie et joindrait l’Adriatique à Fiume».

Napoleone I. (Memorie di Napoleone, dettate a Gourgaudet e Montholon, vol. I).



«Non è soltanto il Tirolo italiano che ci occorre, ma ben anche l’Istria. Senza l’Istria avremo l’Austria sempre padrona dell’Adriatico. Conviene profittare di quest’occasione unica piuttosto che rara, per disfare ogni ingerenza dell'Austria nell’Adriatico».

B. Ricasoli, presidente del ministri, al ministro degli esteri E. Visconti Venosta. Lettera del 12 luglio 1866. (Lettere e Documenti di B. Ricasoli. Vol. VIII. Firenze, Le Monnier, 1893).