Pagina:Viaggio sentimentale di Yorick (1813).djvu/130

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si cominciò a malignare il clero in teatro, da che Moliere rappresentò il suo Tartuffo — il che andava oggimai, pari all’altre reliquie de’ gotici costumi, in disuso — Ciaschedun popolo, seguitò il vecchio, ha le proprie raffinatezze e le proprie grossieretés, le quali or prevalgono or cedono alla lor volta — e in ciascheduno de’ tanti paesi ch’io corsi, notai sempre alcune delicatezze, che al parer mio, mancavano a tutti gli altri: le POUR et le CONTRE se trouvent en chaque nation1; e il

  1. Sentenza che un illustre filosofo applicò a’ costumi di Francia e d’Italia. Un gentiluomo dell’ambasciadore di Francia a Venezia pubblicò in Parigi la relazione d’infinite oscene e brutali opere d’abbominazione delle donne italiane: il filosofo senza negare nè concedere i fatti risponde: Si ceux qui viennent à Paris avec les ambassadeurs, osoient publier quand ils sont retournez chez eux des relations aussi libres, que celles que les françois publient touchant les païs etrangers, je ne doute pas qu’ils n’eussent bien des choses à dire.... Mais quelque menagement que les étrangers ayent pour nous, les dereglemens des femmes n’en sont pas moins rèels; et qui pourroit suivre tous les avortemens, tous les empoisonnemens, toutes les fraudes et toutes les culomnies dont les prostitutions sont compliquèes en France aussi-bien qu’ailleurs, ce seroit dequoi donner de l’horreur aux plus endurcis. Bayle pensées sur la comete sect. 142. — Ma d’allora in qua, ed è quasi un secolo e mezzo, i costumi de’