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l l 2 · DOIÈZE ANS ma sŕzioru i pèriour nous disnit qu’il no suvuit Ei qui nous mlrosser, l01·squ’on iiuppn discrètcmcut il lu porto du purloir. · — Voìci justexnent, 1·eprit—il on nous désignunt b celui qui outmit, lcPè1‘c Giuseppe Supeto, de lo Con- grégution des Luzuristes; il u étudié l’au·ube en Syrie, · ou il vient lle séjourner comme missionnuire, et il pourm peut-ètre nous donner un bon conseil. =I Le Père Supeto étnit jeune; su figure uvenunte pré- 2 vonuit cn su fuvour; il s’:1ssit à còté do moi, et notre ' conversution out bientùt dépussé le but de nm visiti-.

 Je lui uppris que nous comptions nller dans lu Haute-

l lilthiopìc, dont les lois excluuient, sous peine de mort, Y tout xnissionnuire cutholìque; que plus de deux siè- cles :u1pum~:m1t ces lois zwuient ñiit de nombreux è` — mzxrtyis purmi les missionuuires jésuites et francis- Q cuins (1); et comme il regrettuit de ne pouvoir mau·che1·

 sur lcurs truces, je lui proposui de pzzrtir proclmine·-

A nient avec nous. Mon frère trouvn heureuse l’idée de =g mire notre voyage, croìx et bannière cn tète; le Père Su-

 peto domanda. lu nuit pour rélléchir, etnous nous sepa-

uìmes sans nous doutor de combìen d’évènements notre

` conversution tortuitc semit Porigine. · ' Le lendomuìn, il nous uvouu que les diůicultůs È nmtérìelles l.,¢ì1‘1`èÈ2`l.ìCI1ȧ nous lui olfrimes de le dé- fmyer, de lui procurer les vètexncnts sucerdomux á qui lui mamquuient; il ucceptu, et il fut convenu qu’ìl ì ůcrìmit il ses supérieurs eu Europe, ufin d’obteni1· leur upprolmtìon et les moyens de pourvoir ultérieu- È remont Ei lu Mission, si elle devuit olfrìr dos clmnces de succes. ` L’Angluìs umìt init les cmnpugnes de Portugal eu é quulìté ele volontaiìro dans lu c:1vul01·ie de Don Pedro; - } (I) L•·s mìssi:um:¤ix·•·s «·:1llu•liquvs xml élů vxpulsés dlltliiupic en 1629, \ -1: