qui ravi de vos Operette a voulu vous remercier lui mème. Vous savez
qu’il est mon titulaire. Il m’avait remis une feuille entière. D’après
son consentement, pour economiser le port, je ne vous envoie que la
demi-feuille.1
Sous bande vous recevez Rosare, de mon ami Berger,2 qui a voulu
se nommer Gerber, anagramme qui est de mon invention. Tàchez, je
vous en prie, de faire annoncer ce joli livre, d’une morale si pure, dans
l’Antologia.
Vous aurez re<;u ma lettre du 2 Janvier3 et le volume de Castilho?
Ayez la bonté de mettre dans votre prochaine lettre un mot d’in-
cluse pour Mablin. Vous pouvez lui dire quelque chose de favorable
pour moi, qui me sera utile.
Adieu, mon excellent ami, et croyez-moi à tout jamais
votre tout dévoué
L. de Sinner
Paris, rue des Saints Pères, N° 14,
ce 16 Janvier, 1833.
1828. |
A Paolina Leopardi. |
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Cara Pilla
Abbiamo un gennajo simile a quello del 17. Da gran tempo
io ho chiuso il caminetto, e spero oramai che la piccola provi-
sione ch’io aveva fatto per scaldarmi quest’anno, mi resti inu-
tile. Quando ho voglia, esco la sera dopo pranzo, e torno dalla
conversazione a mezza notte. Mi rallegro del Villani acquistato:
è un ottimo acquisto. Anche la mia biblioteca cresce notabil-
mente. Ieri io dissi: andiamo a guadagnarci un bel regalo di libri.
Feci una visita: questa mattina i libri, ben legati, erano in casa
prima ch’io fossi levato. But, pray; how long is it, since you
have learned english? You surprise me: I can assure you that
you write it perfectly. Would I be mistaken, if I were to think
that our brother has assisted you? I shall write and inform you
as you wish. Adieu.