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a6. SUR t.A MOELT.E ALONGF.R
dii cervclct. On a donne le nom de pyramides poslcriciires a ces eminences, ct it parait qii’elles ont etc obscrvees premierement par Rnisch (i), ensnitc par Hallcr (2) et Cliaussier, qiio’upie ils en pai’lent tres-confuseincnt. Ces eminences sont assez bien dessinecs dans les planclies de Wenzel (3), et mieux encore dans liti table YI. de I’Anatomic ct Pliysiologie du syslcnie nerveuv. Ccpendant le pi’emiei" n’en fait aucune mention dans rexplicalion de ses figures, et Ics Antcnrs do ce superbe ouvrage les ont a peine indiquees. Je orois qn’on a donne a ces eminences le noiii de pyramides poslcrieures, parceque de rendroit ou le nerf acoiisticjne traverse les pc’doucnles inforieures du ccrvelct, elles couimeucent par line pointe trus mince; en descendant elles grossissciit, et forment unc c,«pi;re de massne; et a mesure qu’elles s’approchciit et se tonciicnt ensnitc dans la ligne mediane elles forment le bee de la plume a ecrire. De cet endroit ces fascicules insensiblenuMit aplalis, et sous forme de lames asscz minces descendcMit enSi’o Ics dciix cnidnns posterieurs de la moelic epiniere, jusqu’a la hauteur do la septicmc ))aii-e dcs nerfc cervicaux a peuprcs ( j). Au )»remicr a^jicct il parr.il <(ue ces corps ne sont que des eminences (pii sricvcnt dcs pcilonculcs iiifcrienrs du cervelet, mais par le nioycn des coupes transvcrsalcs on pent voir qu’ils sont deux petits cordons cylindiiques bien dislincts, souvent isoles et formes par dcs fibres m(’ilullaires tnrdues. Au reste, pour en avoir une idee l)ien evade, il est plus exjx-dient de consultcr les figures 2. 3. 5). 4de la table IV. et la 2. 3.! \. 5. 8. 9. 10. 11. 13. de la table
V.
PI
.).
Les pyramides posterieures existent probablcmcnt dans tons les (piadniju’des. On en oliscrve Ics rudinicns dans f(ucl((uc oiseau.
(i) Episl. probK-m. XV. il lab. XIV. (a) L. c. p;i;. j6.
(3) Dc torelni striictiiru.
(4) CliaUMki’ 1. t. lijj. i. c, pi. V. pa£. 1809.
