Pagina:Storia degli antichi popoli italiani - Vol. I.djvu/44

Da Wikisource.
XLII AI CORTESI

greca, la congettura può dirsi recata a certezza. C’est là, conchiude l’illustre Accademico parigino, si je ne me trompe, un des résultats les plus satisfaisants, comme le plus positifs, auxquels ait pu conduire encore l’étude comparée des monuments grecs et étrusques; et j’ose croire qu’à ce titre nos lecteurs excuseront l’étendue qu’a prise, un peu contre notre gré, dans cette partie de notre travail l’explication d’un monument si curieux (Journ. des savans, décembre 1834, p. 710).

Pag. 67, tav. XLVI. Gl’idoletti egizj in pasta verde, rappresentanti Phtah, ricoperti di lamine d’oro sono un recente acquisto fatto alla scienza. La presenza di questi oggetti del culto egiziano in mezzo all’etrusche sculture, notificato agli eruditi nel 1827 dalle scoperte fatte ne’ sepolcri Cornetani, est une de ces notions précieuses, un de ces traits de lumière inattendue jetés sur le berceau de l’antiquité étrusque, qui ont éclairé de nos jours le domaine entier de la science, sans qu’on en ait encore déterminé exactement la portée. Des anneaux d’or, où se voient gravés en creux, dans le métal mème, des figures monstrueuses à face de Gorgone, avec des parties