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de supposer une suggestion mentale. Ne croyant pas aux exprits, il fallait, à moins d’admettre un simple hasard, peu probable, se résigner à cette dernière hypothèse».
Notiamo però che l’Ochorowicz adotta quest’ipotesi ne croyant pas aux exprits. Qui si comincia già, per evitare l’esistenza dello spirito, a concedere al medio, la lettura del pensiero, che è una cognizione magica; si è costretti ad ammettere una facoltà anormale per non ammettere una cosa che sarebbe, se non soprannaturale, certo maravigliosa.
4° La probabilità poi aumenta quando il defunto dice di sè qualcosa di verificabile che nessuno dei presenti sa. Trascrivo l’esempio raccontato dal Wallace (379 dell’edizione francese dei Miracoli, ecc.): « Comme un cas personnel vaut mieux qu’un cas de seconde main, je vous en citerai un qui m’est arrivé à moi-meme, en Amérique, bien qu’il ne soit pas aussi merveilleux que les précédents. J’avais un frère, avec lequel je vécus sept ans dans ma jeunesse. Il mourut voilà plus de quarante ans. Ce frère, avant que je fusse avec lui, avait eu un ami à Londres dont le nom était William Martin; le nom de mon frère était William Wallace, et j’ignorais que le nom de son ami fùt William, puisqu’il me parlait toujours de lui en disant Martin. Je n’en savais pas davantage. Mon frère était mort depuis quarante ans, et je puis dire que probablement le nom de Martin ne s’est plus jamais présenté à mon