Pagina:Le rivelazioni impunitarie di Costanza Vaccari-Diotallevi.djvu/202

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bre de sa famille, et celle d’un Aide de Camp de l’Empereur, ne lui permettent pas de la recevoir, comme il l’avait pensé et espéré aujourd’hui samedi; il le regrette vivement.

2.

Madame,

Un accident qui m’est arrivé vendredi dernier, et me tient sur une chaise-longue, ne me permet pas de recevoir, et je ne sais quand il me le permettra. J’aurai l’honneur de vous en informer, attendant avec impatience, ma guérison.

Le G. C. de Goyon.

16 Juin.

3.

Je ne serai pas chez moi demain mercredi, et ne serai libre que le lundi 17 de ce mois, les parentés venues ne partant que dimanche 16. Lundi 17, à 2 heures, je recevrai donc comme d’habitude.

Mardi, 11 juin.

4.

Je ne serai pas chez moi aujourd’hui, mais bien lundi. Je vous prie donc de remettre à la soir de lundi 29 avril, la visite que vous m’aviez fait l’honneur de m’annoncer.


No saro in mia casa oggi venerdì, ma lunedì 29 d’aprile saro à vostra disposizione, alle due pomeridiane.

5.

Madame,

Ma fille qui est à Porto d’Anzio, doit me rentrer demain mercredi; je l’attendrai donc, ce qui ne me per-

    massi, alla quale essa ha preteso di dare un’importanza politica. Certo egli è che l’Aiutante di Campo dell’Imperatore, al giudicare dalle sue espressioni, tenevasi ben lieto del conversare di lei; giungeva sino alla tenerezza e allo scherzo; sino a darle saggio in iscritto de’ suoi progressi nella lingua italiana 11

    C. N. R.