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124 sen l’ AFFINITY. DES COUPS ETC.

des substances dont nous avous provisoirement determine le pouvoir neulralisant dans la premiere section, et que nous n’avons pas cru devoii- excliu-e en raison dun trop grand cloiijuemcnl des autres, nous en avons la table suivanlc: Par les sels oii cutre le Soufi-e. . . o^Giga

PJiosphoi-e. 0,5 1 G3

lode. . . 0,9323

Arsenic. . 0,4773

Molybdene. o,4o4o

Tungslene. o^4"5o

Chrome. . o,4o38

Antiinoine. o,35G4

Selenium. . 0,4074

Tellurium. 0,4047 Ces difierens re’sultats peuvent etre distribues en dilTerens grouppes ou systemes, selon Icur proximite ou les circonstances semblables du calcul sur lequel ils sont fondes, et on pent prendre st’parement la irioyenne de ohaque systeme, en la considerant comme donnee par une scule observation. Ainsi le soufre, par I’assez grand nombre de sels que nous y avons consideres, pent fairc a lui seul un systeme a part qui donne 0,6192 pour I’ alcalinite de la polasse. Les valeurs tirees du phosphore, et de I’ arsenic prises ensemble peuvent former un autre systeme par I’ analogie de la maniere dont nous avons opere par rapport aux sels ou entrent ces deux substances, et la moyenne correspondautc a ce

systeme est — —: — ’ ’ ou 0,4968. L’lode peut donner lieu a

un syslerae a part, sur tout a cause de la grande proximite du resultat qu’il fournit ’0,9323 a la valeur 0,8773 fondee sur les aeides dont le radical a son pouvoir neulralisant determine par les observations de clialeur specifique el de pouvoir refringent. Enfiu tons les autres me’taux dont nous avons parle, du molybdene en tas, a cause de la distance asscz considerable, et a peu-pres