Pagina:Memorie della Accademia delle Scienze di Torino, Tomo XXIX.djvu/66

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l4 Sl’I\ LA MOELI.E ALONCKE

ce que j ni eu lieu tic verifier plusieurs fois, et dernierement encore. Par consequcul les raeiiics siisdiles iic sorlcnt point des pyrami Jes, lesquelles, ainsi que les autres parties des hemispheres, nc doimcnt jamais naissance a nuciin ncrf.

Des corps olivaires.

A cote mais iin pen en arriere des pyramides sorlent les eminences ollvaircs. Leur figure est, en di’hors, a pcu-pres celle dune olive aplatie mais tant soil peu prolongee vers I’a^c dc la moelle alongee. Je ne chercherai pas si c’est Eustache qui les a decouverles le premier, ct si Vieussens ne leur a donne que le nom. Sanlorini (i), Malacarne (a) les ont dccriles asscz Jjien: mais c’est en lisant ce que Vicq-d’azir (3), et sur tout Prochaska (4) en onl dil, cpi’on pent en avoir une idee plus exacte. Si on coupe les corps olivaires de travcrs, ct par leur longueur, on voit fju’en dehors, ils sont formes par une croule blanrlic meduUaire, qui couvre une substance mince jaundtre (5). Cclle-ci semble former une quantite de plis, et d’apres Prochaska, des esp^ces de ramidcalions, tandis que le centre est compose de substance ccndree. Gail et Spurzheim (6) sont a peu-prcs de la meme opinion sur ce qui regaide la substance ccndree. Mais ce qu’il doit surprendre c’est de voir, quils nc font aucune mention de la substance dentelce ct jaunalre qu’on voit avec assez dc facilite, et qui se Irouve assez bien dcssinee dans les figures de Prochaska et dc Vicq-d’azir.

(i) L. c. pag.

(i, Nuova CTporiiione (JclU vera sIruUuM M corvclkUo pag. 87.

(3) Iraki d’Anatomic il I’lijsiiJogie avcc ilcs plaiicliis c<ilori<!ts tab. XXXl.

(4) ^ »trufl«r.i mnroriim pif^- B». Talk I. lig- 111- IV. V.

(5) Mal»c»nK Entcfulot. pari. 11. paj. 18, il lapptllc sr<.n<Ki.gr<m ou loit d’lia roujs^ jaaoiitre.

(6) L e f»f. K)8,