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PAR L. ROLANDO IQ
Jans le dit venlricule et qui s’elcud du calamus scriptorius-’jusc^n’ anx eminences bigemines inferieures.
Les fibres des cordons anlerieurs landis qu’ils Iraversent la protuberance annulaire passent derriere la baiide Iransversale posltirieure, et se melent avee les fibres meduUaircs doul celle-ci est composee; a peu-pres coinme les fibres dcs faisceaux pyramidaut se joigiicnl avcc celli’s du pont dc varole ou dc la bande tiansversale aiilerieure. II est presqu’inutile dc dire que les cordons auterieurs dans ce passage se trouveut enloures dc loute pari de substance cendree, et qu’eufin ils voiil se perdre an milieu dcs couches opliques. Dans les animaux, el sur lout dans le boeuf, que j’ai examine avee plus de soiii, ces cordons presenleut qiielque diversite, qui depend de rabseiice, et du defaut de subslance cen. dree dans la protuberance, comme on pcul \o\v en consultant les figures dc la table IX.
Apres lout ce que je viens de dire, il est facile de conclure, (p»e jusqu’a present on n’a eu aucuiic idee de I’existence et de la disposition des cordons anlero lateraux dans la nioelle alougee. On pourralt croire cependant que les Docteurs Gall et Spurzlieim (i) ayent entrevu une parlie de cette disposition, si on fait attention a ce qu’ils disent des corps olivaires; selon eux un fort faisceau sorlant de ces pretendus ganglions monte avee les faisceaux poslerieurs. Mais ce passage me parait Ires-obscur et les faisceaux ne sont pas du lout represenles dans la table XII. qu’ils cilent a ce propos.
II faut cependant avouer (pic Ilaller (2) et ^lalacarne (3) font quelque mention de ces cordons, landis qu’ils Iraversent le pont dc varole, mais ils ne les out point suivis.
(1) L. c. pag. 198.
(a) Elt’iD, I’bys I. 4. pag. 73.
(J) L. c. p»g. 76.
