Pagina:Memorie della Accademia delle Scienze di Torino, Tomo XXIX.djvu/183

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PAR LE CIIEV. AVOGAOao llS

selon les observations de M. Gay-Lussac, et un hydro-sulfate qui conliendrail le doii))lc tl’acide, et qui scrail probablcmeut acidc, et prendre la moyenne entre les deux resultats, de meine que nous I’avons fait pour le calcid du pouvoir neutralisaiit du soufre, par les memes sels a base d’ammoniaque. Selon M. Berzelius la composition de I’hydro-sulfate dc polasse counu eu volume est, en la reduisant ii’ nos hypotheses,

I potassium k I’etat de polasse ou avec i doxigene, I soufre a I’etat d’acide hydro -sulfurique ou avec i hydi’ ogene.La composition de I’aeide liydro-sulfurique en poids est, selon nos evaluations, 0,9419 ’le son(i-e et o,o58i dliydrogeue, et sa densite sans redoublement serait SjSG-jS en prcnant pour unite eelle de I’air, ensorle qu’elle se reduit a iji836 par le redoublement qui y a lieu. D’apres cela la composition du sel dont il s’agit en poids se trouve de o,’^343 de polasse, et 0,2658 d’acide j qui est precise’ment la meme qui est aussi indiquee par Berzelius par une compensation dans les poliles differences des evaluations. II serait facile d’apres les donnees indiquees de calculer de meme la composition d"un hydro-sulfate qui contiendrait le doid)le d’ar cide. Mais lorsqu’on vieiit a chercher I’acidite qu’on doit attribuer a I’acide hycb’o-sulfurique dans le calcul de I’alcalinite de la polasse par ces deux sels, d’apres le pouvoir neutralisant provisoire du soufie — 0,3576, on obtient un resultat qui nous emptche de nous servir de ces sels pour notre objet; eette acidite se trouve etre — 0,3576. O,g4i9-t-o,o5&i. io,oa22=-H’0,3455, c’est-a-dii-e une (piantile positive ou une alcalinite. Gela prouve que le pouvoir neutndisant acide attribue ))rovisoirement au soufre est trop faible, puisqu’il ue peut se concilier avec I’acidite d’ailleurs bien reelle de I’acide hydro-sidfnrique, sans que cepcndant cela nous oblige de rejetler les calculs prercdens fondes sur cette determination provisoire, et dont les rcsnltats ne doivent que concourir a fixer un resultat raoyen, qui peut etre coirige par d’autres resultats partiels qui s’ticartcut du vrai en sens coulraire. Mais Tom. XXIX P