Pagina:Parlamento subalpino - Atti parlamentari, 1853-54, Documenti.pdf/417

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es de distinction personelle, des grands cordons de iat.cgiond'Hnnneur de France, de l’Aigle Rouge de Prusse, de Charles III et d’Isabelle la catholique d'Espagne, d’une grande décoration de la Cour de Rouie, et des grands cordons de Léopold de Belgique, du Lion Néerlandais de Hollande, de l'Epée de Suède et Norwége, des saints-Maurice et Lazare de Sardaigne, de la Tour et de l’Epée de Portugal, de Saint-Ludovic de Parme, etc., etc., etc., et le ministre des affaires étrangère3 de la Sublime Porte, Esseid Muhainmed Emin-Aaly pacha, décoré de l’Ordre impérial du Mérijidié de première classe, et d’une autre grande décoration impériale de dislinction personnelle et des grands cordons de la Légion-d’Honneur de France, de l’Aigle Rouge de Prusse, de la Tour et de l’Epée de Portugal, d’Isabelle la catholique d’Espagne, de l’Etoile polaire de Suède et de Norvège, de Léopold de Belgique, des saints-Maurice et Lazare de Sardaigne, etc., etc. Lesquels, après s’ètre réciproquement communiqué leurs pleins pouvoirs, trouvés en bonne et due forme, sont convenus des articles suivants : Art. 1. Sa Majesté le Roi de Sardaigne déclare adhérer pour sa part au traité d’alliance conclu à Constantinople le 12 mars 1854 entre la Sublime Porte ottonu-ne, l’empire français et le royaume-uni de ia Grande-Bretagne, destiné à garantir l’intégrité et 1’indépendance de l’empire ottoman, et s’engage envers Sa Majesté impériale le Sultan à concourir au but que ses Augustes Alliés se sont proposer par ledit traité, moyennant l’envoi de troupes sardes sur le théâtre de la guerre, suivant ce qui a été arrêlé par la convention militaire signée à Turin le 26 janvier de la présente année, entre sa dite Maje.stéet leurs Majestés l’empereurdes Français et la reine de la Grande-Bretagne et d'Irlande, Ari. 2. Sa Majesté impériale le Sultan, acceptant avec empressement cette adhésion du Roi de Sardaigne à son alliance avec la France et l’Angleterre, s’engage, à son tour, à accorder aux troupes sardes, qui seront expédiées dans le territoire ottoman ou ailleurs sur le théâtre de la guerre, un traitement parfaitement identique, so-ns tous les rapports, à celui qui a été stipulé par le traité du 12 mars 1854 en faveur des troupes auxiliaires de France et d’Angleterre, et cela à charge pour les troupes sardes dés mêmes obligations que le traité impose à celles de ces deux puissances alliées. Art. 3. Le Gouvernement de Sa Majesté impériale le Sultan donnera en conséquence aux autorités ottomanes les ordres nécessaires pour que les troupes de Sa Majesté le Roi de Sardaigne, qui iront prendre part à la guerre, soient traitées dans le territoire de l’empire ottoman sur un pied de parfaite égalité avec les troupes auxiliaires de France et d’Angleterre pour tout ce qui concerne les besoins du service. Art. 4. La présente convention sera ratifiée, et les ratifications seront échangées à Constantinople dans l’espace de six semaines à partir du jour de sa signature ou plus tôt si faire se peut. En foi de quoi les plénipotentiaires respectifs l’ont signée et y ont apposé le cachet de leurs armes. Fait à Constantinople, le 15 mars 1855. S. N. 3, V. S. 26 de la lune Djemazi-UI-Akhyr, de l’an de l’Hégire 1271. Signé: R. Tecco (L. S.) Signé: Rechid (L. S.) Siyni: Aalv (L. S.) Pour copie conforme à l’original : Turin, ce .... avril 1885. Hé secrétaire général du Ministère des affaires étrangères Mosh, Autorizzazione alla elivisione di Genova, ed alle proviucie di Novi e di Genova dì oltrepassare uel 1855 il limite ordinario deila loro imposta. Progetto di legge presentato alla Camera il 4 maggio 1855 dal ministro guardasigilli reggente il Ministero deir interno (Battazzij. Signori! — L’imposta necessaria per coprire le spese comuni volate dal Consiglio divisionale di Genova per l’esercizio 1855 supera di lire 220,805 12 il limite normale; quella destinata a sopperire alle spese speciali delia provincia di Genova lo oltrepassa di lire 50,040 23 ; quella finalmente richiesta dalle consimili spese della provincia di Novi lo eccede di lire 7216 24. Preso a disamina il bilancio generale, e richiesto ii dicastero dei lavori pubblici di dichiarare se qualche economia potesse aver luogo sugli stanziamenti fatti in quello stradale, venne a risultare non essere suscettibile di riduzione l’imposta comune; potersi ridurre a lire 2016 24 l’eccedenza dell’imposta speciale della provincia di Novi, ed essere per ultimo necessarie accrescere I’eccedenza di quella della provincia di Genova fino a lire 109.506 58 attesa la non giustificata ommissione dalle corrispondenti spese del fondo di lire 69.266 14 dovuto allo Slato in rimborso della quota provinciale nelle spese di manutenzione e miglioramento del porto di Genova durante i’anno 1853 Nel deporre a! banco della Presidenza un progel to di legge conforme a queste risultanze, io vi prego di volerlo discutere d’urgenza, nel mentre che, per allontanare qualsiasi dubbio che l’onere dei contribuenti della provincia di Genova sia per riuscire eccessivo, mi ascrivo a debito di osservare che i centesimi addizionali necessari per coprire le due imposte comune e speciale non giungeranno a trentacinque, s’accosteranno cioè alla media generale di tutte le provincie dello Stato. PROGETTO Di LEGGE, Articolo unico. La divisione amministrativa di Genova e le provincie di Genova e di Novi sono autorizzate a ripartire un’imposta di tire seicento cinquantamila oltocenlutrè e centesimi dodici la prima, di lire cento quarantunmila quattrocento settantasette e centesimi trentacinque ia seconda, e di lire cinquemila trecentodieci la terza per coprire le rispettive loro spese dell’esercizio 1855. Relazione fatta alla Camera il 28 maggio 1855 dalla Commissione composta dei deputati Corsi, Hiccardi Carlo, Nichelini Alessandro, Bottone. Monticelli, e Michelini (ì. B., relatore. Signori ! — Coi progetto di legge presentato nella tornata del 4 maggio corrente, il ministro deli’ interno vi chiede di autorizzare la divisione di Genova e le provincie di Genova e di Novi ad oltrepassare il limite massimo della rispettiva imposta. Non devo nascondervi innanzitutto che la Commissione è gravemente colpita dalla frequenza di simili domande; per cui l’oltrepassare il limite dell’imposta stabilito per le divisioni e le provincie dalla legge dei 12 ottobre 1848, che non