Pagina:Gibbon - Storia della decadenza e rovina dell'Impero romano I.djvu/30

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NOTE

(i) Car je rechercherai toujours la verité quoique je n’aye guères trouvé jusqu’ici que la vraisemblance. Memorie di Gibbon scritte da esso.

NB. Sono costretto a citare la traduxìone francese di queste Memorie^ non avendo potuto procurarmene l’edizione inglese.

(2) Car je n’ai ni gloire ni honte à recueillir de mes ancêtres. Ivi.

(3) Les traductions anglaises de Bossuet evéque de Meaux, l’exposition de la doctrine catholique, et l’histoire des variatìona dea Protestans, achevèrent ma conversion: et certes, je fus renveré par un noble adversaire. Ivi.

(4) Je n’ai point à rougir que mon esprit si tendre encore se soit embarassé dans les pièges sophistiques dont n’ont pu se defendre les entendemens subtils et vigourenx d’un Chillìngworth et d’un Bayle, qui de la superstition se soni élevés ensuite au scepticisme. Ivi.

(5) Gibbon dice altrove che non permuterebbe l’invilcibil suo amore per la lettura, con tutti i tesori dell’India.

(6) Je la vis et j’aimai. Je la trouvai savante sans pédanterie, animée dans la conversation, pure dans ses sentimens, et élégante dans les manières. La première et soudaine émotion se fortifia par l’habitude et le rapprochement d’une connaissance plus familière. Elle me permit de lui faire deux ou trois visites chez son père. J’ai passé quelques jours heureux dans les montagnes de Franche-Comté. Ses parens encouragèrent honorablement ma recherche, Dans le calme de la retraite, les légères vanités de la jenuesse n’agitant plus son coeur