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304 | pensieri | (4361-4362) |
teurs serviens modernes ont cru bien faire d’introduire de nouvelles lettres ainsi qu’une orthographe étrangère tout-à-fait barbare chez les Slaves. Pourquoi ne pas s’en tenir à l’ancien alphabet cyrillien? (vedi il pensiero precedente a quelli a cui si riferisce). Ib., extrait du Fils de la patrie (giorn. russo), n° 26, p. 241, 1824 (31 agosto 1828).
* Commentatio historico-critica de Rhapsodis, in-4° de 22 pag., Vienne, 1824. Cet opuscule contient, en premier lieu, l’ètymologie du mot ῥαψῳδὸς. ὰπὸ τοῦ ῥάπτειν τὴν ᾠδὴν, ou ὰπὸ τοῦ ἐπὶ ῥάβδῳ ἄδειν. L’Auteur (4362) expose ensuite les raisons qui lui font adopter cette étymologie. Ῥάπτειν ᾠδὴν est expliqué d’après Wolf (§ 23, p. xcvi, not. dei Prolegom. ec.): Carmina modo et ordine publicae recitationi apto connectere. Vedi p. 4366. ‘Ομηρισταὶ et ‘Ομηρίδαι sont désignés comme synonymes dans le sens de ῥαψῳδοὶ. Viennent ensuite des observations historiques sur l’art des rhapsodes grecs, divisées en 4 périodes. La 1e, va jusqu’à Homère; la 2e, comprend l’âge d’or des rhapsodes, jusqu’à Pisistrate; la 3e, l’âge d’argent, jusqu’à Socrate; la 4e, l’âge d’airain, s’occupe de la dégradation de l’art des rhapsodes. L’ènumération des rhapsodes distingués termine cet opuscule. Ib., mars, art. 231, p. 170 (agosto 1828).
* Alla p. 4312. Plusieurs peuplades de l’Afrique, de l’Amérique ou de la Polynésie, chez lesquelles une écriture tout-à-fait étrangère s’est introduite avec la prédication du christianisme, lorsque leur langage avait été élaboré, dans l’absence de toute écriture, pendant une longue suite de siècles, pouvaient etc. Ib., 1826, t. V, p. 338-9, art. 485.
* Alla p. 4340 fine. Dissertatio histor. inaug. de Guilielmo Tellio, libertatis Helveticae vindice, quam examini submittet J-J. Hisely. In 8°, viii et 69 pag. Groningen, 1824 (Bek’s Allg. Repertor., 1825; Ire vol.,