Pagina:Zibaldone di pensieri VII.djvu/322

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(4371-4372) pensieri 313

bibliothèque de Rennes. L’heureuse découverte du récit en vers du Combat des Trente, faite dans un recueil de pièces mss. de la Bibliothéque du Roi, par le chev. de Fréminville, donna lieu, en 1819, à une première publication d’un nouveau document; mais il était important que le texte fût reproduit avec la plus scrupuleuse exactitude. M. Crapelet a complété tout ce que laissait désirer à cet égard la 1re édition. Il a fait suivre cette publication d’une traduction littérale du poëme et d’une autre relation du combat, extraite des chroniques de Froissart. L’ouvrage est orné d’une planche représentant le monument élevé en mémoire de ce combat, et les armoiries des 30 chevaliers bretons, dessinées d’après les armoriaux de la Bibliothéque du Roi, et d’autres armoriaux particuliers et inédits (Ib., t. VIII, p. 389-90, art. 407, octob. 1827). Vedi nel Guicciardini  (4372) ec. il famoso combattimento dei 10 italiani e 10 francesi all’assedio di Barletta sotto il Gran Capitano; e quello di un bavaro e di un italiano nel Giambullari, riferito nella mia Crestomazia, p. 23. - Orazi e Curiazi ec. (9 settembre 1828).


*    Hordeum - fordeum. Vedi Forcellini.


*    Alla p. 4350, margine. I sonetti, canzoni ec. ed anche lunghi poemi in istile e forma puerile, di cui abbondavano prima di Dante le lingue volgari, non solo italiana, ma francese, spagnuola ec., non costituivano e non erano considerati costituire una letteratura. Vedi p. 4413.


*    Alla p. 4356. L’entusiasmo l’ispirazione, essenziali alla poesia, non sono cose durevoli. Né si possono troppo a lungo mantenere in chi legge.


*    Alla p. 4361. Di queste poesie serviane sono state fatte, dopo la pubblicazione di Wuk, delle traduzioni